S’adressant au L’ONU maintien du maintien ministériel 2025 Dans la capitale allemande, le secrétaire général a déclaré à des dizaines de ministres de plus de 130 pays que les soldats de la paix restent la clé pour «aider les pays à passer du conflit à la paix».

«Dans les points de déformation du monde entier, les casques bleus peuvent faire la différence entre la vie et la mort», «  Il a insisté. «Ils sont également une démonstration claire du pouvoir de l’action multilatérale pour maintenir, réaliser et maintenir la paix.»

Malgré la valeur éprouvée des missions de maintien de la paix pour assurer une paix durable dans d’innombrables pays du Cambodge au Libora et au Timor Leste, M. Guterres a averti que les défis d’aujourd’hui ont rendu cette tâche beaucoup plus difficile.

« Nous sommes maintenant confrontés au plus grand nombre de conflits depuis la fondation des Nations Unies et un nombre record de personnes fuyant à travers les frontières à la recherche de la sécurité et du refuge », a-t-il déclaré, avant de faire allusion à des obstacles supplémentaires causés par une absence de soutien politique aux mandats de maintien de la paix.

Le budget du maintien de la paix des Nations Unies se déroule sur un cycle de juillet-juin et a des arriérés impayés de 2,7 milliards de dollars.

Approche pratique

Pour contrer cela et face aux «contraintes financières dramatiques» affectant désormais l’ONU dans son intégralité, le secrétaire général a annoncé un examen urgent des opérations pour inspirer un nouveau modèle de maintien de la paix «apte à l’avenir».

Dans les années à venir, «une stratégie de sortie claire» pour les soldats de la paix sera la clé, a déclaré M. Guterres, ainsi que de travailler avec les États membres et le Conseil de sécurité «Pour s’assurer que tous les nouveaux mandats« sont priorisés et réalisables avec les ressources disponibles ».

D’autres indices sur ce que pourrait ressembler à la paix de la paix de l’ONU.

Missions actives telles que Unifil Au Liban, il a déjà montré qu’il est possible de s’adapter aux défis d’aujourd’hui tout en assurant des livraisons de paix et d’aide, a noté M. Guterres.

Et en clin d’œil à Minusca En République centrafricaine, le secrétaire général a souligné son travail dans la protection des civils «et aidant le gouvernement à étendre sa portée au-delà de la capitale où les gens ont désespérément besoin.»

En République démocratique du Congo aussi et malgré les combats en cours là-bas, les soldats de la paix de Monusco Reste également sur le terrain et protégez les populations vulnérables, a maintenu le chef de l’ONU.

Mercredi, les États membres se préparaient à annoncer des promesses financières pour le maintien de la paix, M. Guterres a souligné que le budget global des missions ne représentait que 0,5% des dépenses militaires mondiales.

Le maintien de la paix «n’est aussi fort que l’engagement des États membres envers lui», a souligné M. Guterres.

Au milieu de réductions massives du financement des Nations Unies par les États membres, il reste à voir si l’humeur optimiste à Berlin se traduit par un soutien financier désespérément nécessaire aux opérations de maintien de la paix de l’organisme mondial.

«Le maintien de la paix de l’ONU aujourd’hui est plus dynamique que jamais», a insisté Boris Pistorius, ministre de la Défense de l’Allemagne. «Il est et restera la pierre angulaire de la stabilité internationale. Engageons-nous à le rendre encore plus efficace pour ceux qui en dépendent.»

Coupures

La poussée du chef de l’ONU pour rationaliser l’organisme mondial survient un jour après son appel à faire avancer avec les principales améliorations de l’efficacité et la réduction des coûts en réponse à la crise de liquidité chronique causée par les États membres tombant dans les arriérés.

Comme ces réformes structurelles radicales sont importantes – avec une réduction des effectifs du personnel pouvant aller jusqu’à 20% – ils ne sont pas la réponse à l’échec de certains pays à payer l’organisation pour remplir les mandats qu’ils lui ont donnés, a insisté M. Guterres.

Selon information Fourni par le contrôleur des Nations Unies au cinquième comité de l’Assemblée générale (administratif et budgétaire), seulement 1,8 milliard de dollars ont été reçus contre 3,5 milliards de dollars Évaluations budgétaires régulières pour 2025 – un manque à gagner d’environ 50%.

Dans la ligne budgétaire pour les évaluations impayées, ce qui s’élevait à 2,4 milliards de dollars le 30 avril, les États-Unis, étant d’environ 1,5 milliard de dollars, la Chine 597 millions de dollars, la Russie 72 millions de dollars, l’Arabie saoudite 42 millions de dollars, le Mexique 38 millions de dollars et le Venezuela 38 millions de dollars. 137 millions de dollars supplémentaires n’ont pas encore été payés par d’autres États membres.

Pour les tribunaux internationaux, les contributions totales en circulation ont totalisé 79 millions de dollars le 30 avril.